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6/12/2025, 8:39:09 PM
T’en penses quoi des Québécois?
>Je m'appelle Marc Tremblay, je suis originaire de Québec, et cela fait maintenant trois ans que je vis à Bordeaux.
>Au départ, c'était une envie de changement, un besoin de sortir de ma zone de confort et de découvrir un autre mode de vie.
>J’ai travaillé plus de quinze ans dans le secteur de la logistique en Amérique du Nord, mais je cherchais un environnement plus humain, avec une place plus marquée pour les échanges culturels et la qualité de vie.
>Ce que j’ai trouvé en France, c’est justement ce mélange de rigueur professionnelle et de chaleur humaine.
>Bien sûr, l’installation n’a pas été sans embûches : entre les démarches administratives, les différences de communication en milieu de travail, et une certaine nostalgie du pays… il faut du temps pour s’adapter.
>Mais aujourd’hui, je me sens pleinement intégré.
>Je participe à la vie associative de mon quartier, j’ai repris des études en gestion durable, et je songe sérieusement à demander la nationalité française.
>Pour moi, l’immigration, ce n’est pas fuir quelque chose, c’est choisir de construire ailleurs, autrement.
>Je m'appelle Marc Tremblay, je suis originaire de Québec, et cela fait maintenant trois ans que je vis à Bordeaux.
>Au départ, c'était une envie de changement, un besoin de sortir de ma zone de confort et de découvrir un autre mode de vie.
>J’ai travaillé plus de quinze ans dans le secteur de la logistique en Amérique du Nord, mais je cherchais un environnement plus humain, avec une place plus marquée pour les échanges culturels et la qualité de vie.
>Ce que j’ai trouvé en France, c’est justement ce mélange de rigueur professionnelle et de chaleur humaine.
>Bien sûr, l’installation n’a pas été sans embûches : entre les démarches administratives, les différences de communication en milieu de travail, et une certaine nostalgie du pays… il faut du temps pour s’adapter.
>Mais aujourd’hui, je me sens pleinement intégré.
>Je participe à la vie associative de mon quartier, j’ai repris des études en gestion durable, et je songe sérieusement à demander la nationalité française.
>Pour moi, l’immigration, ce n’est pas fuir quelque chose, c’est choisir de construire ailleurs, autrement.
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