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C'est toujours ceux qui n'habitent pas en France qui pleurent le plus fort. Le sexpat alcoolique, l'herpès qui se fait bourrer dans les chiottes des chantiers et lui, l'espanon, un modique maure. Ils me font penser à ces héros qui se barrent à l'étranger pour critiquer le régime du pays qu'ils ont quitté avec pour but de ne pas se faire fusiller. Des pleutres, grandes gueules petites bites.