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J'avais quitté Vancouver au meilleur moment, après 64 ans, au dernier moment possible pour le Québec. J'avais vendu mon appartement à un bon prix et j'avais acheté une maison dans une petite ville, dans une rue où vivaient uniquement des policiers et leurs jeunes familles. J'avais pu l'acheter à bas prix, car le vendeur était une famille de trafiquants de drogue rejetée par ses voisins (314 000 $). J'étais le bienvenu comme un amiable frère (j'ai laine pur mon nègre kek). J'aime Québec de tout mon cœur. Je n'ai aucune envie de vivre ailleurs. En quatre ans, la valeur de ma maison avait augmenté pour atteindre 700 000 $.